Notre lettre 1181 publiée le 2 avril 2025

MGR SCHNEIDER :

« UN JOUR, UNE MESSE TRADITIONNELLE

SERA CÉLÉBRÉE PAR LE PAPE

À SAINT-PIERRE DE ROME"

LES VEILLEURS POURSUIVENT
POUR LA 184ÈME SEMAINE
LEURS PRIÈRES POUR LA DÉFENSE
DE LA MESSE TRADITIONNELLE
DEVANT L'ARCHEVÊCHÉ DE PARIS
DU LUNDI AU VENDREDI
DE 13H À 13H30
10 RUE DU CLOÎTRE-NOTRE-DAME



Chers Amis,

J’ai pris très au sérieux et nullement comme une boutade les propos de Mgr Athanasius Schneider, dans un entretien qu’il a accordé à LifeSiteNews (Monseigneur Athanasius Schneider : « Un jour, un pape célébrera de nouveau la messe en latin à Saint-Pierre » - Tribune Chrétienne), par lesquels il se dit personnellement persuadé qu’un jour un pape célèbrera la messe traditionnelle à Rome, dans la basilique Saint-Pierre, avec la plus grande solemnité.

Car il faut être logique : si, comme le dit Mgr Schneider que la messe tridentine, malgré les obstacles, survivra, et continuera à se développer – et nous en sommes tous, moi qui vous écris et vous qui me lisez bien persuadés –, c’est pour redevenir à la fin officiellement ce qu’elle n’a jamais cessé d’être, la messe catholique de l’Église catholique. « Cette célébration de la messe, que j’appelle la messe des siècles, est indestructible, et un pape ne peut pas la détruire, quels que soient ses efforts », déclare Mgr Schneider. Si la messe devait être plus encore persécutée et « reléguée aux catacombes », elle renaîtra splendidement, nous assure-t-il.

Mgr Schneider en rajoute, si je puis ainsi m’exprimer : il ne veut pas qualifier la messe tridentine d’ancienne, mais préfère la désigner comme nouvelle messe. Ah si Bugnini entendait ça ! En effet dit Athanasius Schneider, elle attire toujours une jeunesse fervente. Il est bien vrai qu’elle est une messe toujours jeune.

C’est plus qu’une question de logique, c’est une question de foi. S’il est vrai que cette messe a été écartée pour être remplacée par une messe qui exprime plus faiblement le sacrifice non sanglant de Jésus-Christ réitérant celui du Golgotha, l’adoration de la présence réelle du Corps et du Sang du Christ sous les espèces du pain et du vin, la transcendance ineffable de ce mystère donné aux hommes, la sacralité du sacerdoce hiérarchique, la messe écartée ne peut qu’à la fin triompher de celle qui a prétendu la remplacer. En être convaincu, c’est croire à l’indéfectibilité de l’Église qui ne peut ni se tromper ni nous tromper.

La crise de l’Église ouverte il y a un demi-siècle et portée aujourd’hui à son paroxysme, crise d’enseignement de la foi par ceux qui en ont la mission, se manifeste ouvertement – lex orandi, lex credendi – au moyen du « bricolage » de la sainte liturgie. Mais le Christ a dit à Pierre : « Simon, quand tu seras revenu, confirme tes frères ! » (Luc 22, 32). Si une fausse réforme a perturbé l’Église et sa liturgie, une vraie réforme, à savoir une régénération de l’Église et de sa liturgie adviendra.

Elle sera mise en œuvre par le Successeur de Pierre et les Successeurs des Apôtres. Lorsque sera clos le désordre dans l’enseignement, les éléments de ce renouveau, qu’ils soient immédiats (doctrinaux) ou éventuellement progressifs (disciplinaires et, dans une certaine mesure, liturgiques), seront assumés par le pape et les évêques unis à lui.

Il faut absolument garder les yeux fixés sur le but à atteindre, celui de la restitution de l’enseignement de l’Église romaine et de son culte dans leur intégrité. Mais auparavant, des évêques, des cardinaux, avec aussi des prélats, tels des supérieurs religieux, abbés de monastères, peuvent et doivent pour leur part anticiper ce renouveau dans l’aire d’influence qui est la leur. Dans le moment présent la restauration de l’Église se fait sur le mode de l’organisation d’une survie et d’un début de renouveau catéchétique, missionnaire, et liturgique. Mais on est peut-être à la veille d’entre dans une nouvelle phase de l’après-Concile, où une fois encore dans l’histoire terrestre de l’Église, la force de Dieu resplendira dans la faiblesse des hommes (2 Cor 12, 10).

La divine constitution de l’Église est fondée sur le pape et les évêques unis à lui. Dans le cadre de cette survie, ce que peut faire un évêque, Successeur des Apôtres, est immense. Grâce soit ainsi rendue à Mgr Lefebvre pour ses séminaires. Dans ma lettre du 10 février 2025, j’avais parlé de ces « trois mousquetaires » que sont aujourd’hui les cardinaux Burke, Sarah, Müller. Je parlais aussi de Mgr Strickland, évêque « émérité » de force de Tylor, au Texas. Qu’un certain nombre d’évêques, à des degrés divers, aujourd’hui comme hier, ne soient pas dans la ligne commune, est chose certaine, même si la manifestation de leur non-conformité reste encore timide. Combien donc sont précieuses les paroles et les actes de ceux, cardinaux, évêques, qui font preuve d’une réelle liberté de Successeurs des Apôtres ! Au nombre desquels, Mgr Athanasius Schneider.

Je profite de cette Lettre pour vous annoncer qu’il sera à Paris à la fin du mois de mai pour participer à une colloque sur la doctrine de la Corédemption de la Sainte Vierge (La Co-rédemption de la Sainte Vierge · 23-24 mai 2025 · Colloque théologique), le 23 et 24 mai, à la Cité Universitaire, 17 boulevard Jourdan (RER Cité Universitaire), Maison internationale, Salon Honorat (avec l’abbé Gabriel Grodziski, l’abbé Claude Barthe, le P. Jean-Christophe de Nadaï op, l’abbé Patrick Troadec fsppx, le P. Serafino Lanzetta franciscain marial, l’abbé Manfred Hauke, professeur à la Faculté de théologie de Lugano, le Professeur Roberto de Mattei), et que vous pourrez ainsi le saluer .

Ils auront pu entendre auparavant le cardinal Gerhard Müller, qui célébrera une messe pontificale à l'église Saint-Eugène de Paris le dimanche 6 avril 2025 à 11h, après avoir donné la veille à 20h une conférence sur : « le concile de Nicée: des réponses pour notre siècle. »

Une messe traditionnelle célébrée demain par le pape à Saint-Pierre ! Et auparavant, pourquoi pas, une messe traditionnelle à Notre-Dame de Paris ? Dans l’immédiat, nous continuons à veiller et prier devant les bureaux de l’archevêché, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, du lundi au vendredi, de 13h à 13h 30, à Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, dans le XIXe, le mercredi à 17h, devant Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, dans le XIVe.


Echos de Veille : Un homme à fort accent anglais, entrant dans la maison diocésaine, au 10 rue du Cloitre-Notre-Dame, nous lance : « la messe traditionnelle en latin c’est magnifique. Chez nous elle est célébrée librement : Continuez ! »

En union de prière et d’amitié. 

Christian Marquant
contact@veilleurs-paris.fr


MONSIGNOR SCHNEIDER:

A POPE WILL ONE DAY CELEBRATE THE TRADITIONAL MASS

AT ST. PETER'S IN ROME AGAIN

184th WEEK: THE SENTINELS CONTINUE THEIR PRAYERS

FOR THE DEFENSE OF THE TRADITIONAL MASS

IN FRONT OF THE ARCHDIOCESE OF PARIS




I took very seriously, and not as a joke nor as a mere outburst, the words of Monsignor Athanasius Schneider, in an interview he gave to LifeSiteNews (https://www.lifesitenews.com/news/exclusive-bishop-schneider-believes-a-pope-will-one-day-celebrate-latin-mass-in-st-peters-again/), in which he said he was personally convinced that one day a pope would again celebrate the traditional Mass in Rome, in St. Peter's Basilica, with the greatest solemnity.

For one must be logical: if, as Bishop Schneider says, the Tridentine Mass, despite all the obstacles, manages to survive and continue to strive —and we are all convinced of this, I who write to you and you who read me—it shall ultimately officially become what it has never ceased to be: the Catholic Mass of the Catholic Church. “This celebration of the Mass, which I call the Mass of the centuries, is indestructible, and a Pope cannot destroy it, no matter how hard he tries,” Bishop Schneider affirmed. Although the Mass may be further persecuted and “relegated to the catacombs,” it will be reborn splendidly, he assures.

Actually, Bishop Schneider goes even farther, adding something more to this, if I may put it this way: he does not want to describe the Tridentine Mass as old, but prefers to refer to it as the new Mass. Ah, if Bugnini could only hear that! Indeed, Bishop Athanasius Schneider affirms, it still attracts a fervent youth. It is true that it is an ever-young Mass.

But it is more than a question of logic; it is a question of faith. If it is true that this Mass was set aside to be replaced by a Mass that more weakly expresses the bloodless sacrifice of Jesus Christ – which reiterates that of the Golgotha – the adoration of the real presence of the Body and Blood of Christ under the species of bread and wine, the ineffable transcendence of this mystery given to mankind, the sacredness of the hierarchical priesthood, the Mass that was set aside can only ultimately triumph over the one that sought to replace it. To be convinced of this is to believe in the indefectibility of the Church, which cannot err or deceive us.

The crisis of the Church, which began half a century ago and is now reaching its peak, a crisis of the teaching of the faith by those who have that mission, is openly manifested—lex orandi, lex credendi—through the “manipulations” or “bricolage” of the sacred liturgy. But Christ said to Peter, "Simon, when you return, strengthen your brothers" (Luke 22:32). If a false reform has disturbed the Church and its liturgy, a true reform will come, that is, a regeneration of the Church and its liturgy.

And it will be implemented by the Successor of Peter and the Successors of the Apostles. When the disorder in teaching is finally solved, the elements of this renewal, whether immediate (doctrinal) or eventually progressive (disciplinary and, to a certain extent, liturgical), will be assumed by the Pope and the bishops united with him.

It is absolutely necessary to keep our eyes fixed on the goal that has to be achieved, that is, the restoration of the teaching of the Roman Church and its worship in their integrity. But before that, bishops, cardinals, and also prelates, such as religious superiors and abbots of monasteries, can and must anticipate this renewal in their sphere of influence. At the present time, the restoration of the Church is taking place in the form of organizing the survival and the beginnings of a catechetical, missionary, and liturgical renewal. But perhaps we are on the eve of entering a new phase after the Council, when once again in the earthly history of the Church, God's power will shine forth in the weakness of men (2 Cor 12:10).

The divine constitution of the Church is founded on the Pope and the bishops united to him. In the context of this survival, what a bishop, Successor of the Apostles, can do is immense. Therefore, we thank Archbishop Lefebvre for his seminaries. In my letter of February 10, 2025, I spoke of "three musketeers" of our times, namely, Cardinals Burke, Sarah, and Müller. I also spoke of Bishop Strickland, the bishop (forced to be) emeritus of Tyler, Texas. It is true that a certain number of bishops, to varying degrees, today as yesterday, do not follow the common line, although the expression of their nonconformity may still be timid. How precious, then, are the words and actions of those cardinals and bishops who come forth as examples of the true freedom of the Successors of the Apostles! And among them, we count Bishop Athanasius Schneider.

I take advantage of this letter to announce that he will be in Paris at the end of May to participate in a conference on the doctrine of the Co-redemption of the Blessed Virgin (La Co-rédemption de la Sainte Vierge · 23-24 mai 2025 · Colloque théologique), on May 23 and 24, at the Cité Universitaire, 17 boulevard Jourdan (RER Cité Universitaire), International House, Salon Honorat (with Father Gabriel Grodziski, Father Claude Barthe, Father Jean-Christophe de Nadaï OP, Father Patrick Troadec fsppx, Father Serafino Lanzetta, a Marian Franciscan, Father Manfred Hauke, professor at the Faculty of Theology of Lugano, Professor Roberto de Mattei), where you may be able to greet him.

The Tridentine Mass celebrated tomorrow by the Pope at St. Peter's! And before that, why not a Tridentine Mass at Notre Dame de Paris? In the immediate future, we will continue to keep vigil and pray in front of the offices of the archdiocese, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, Monday through Friday, from 1:00 p.m. to 1:30 p.m., at Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, on Wednesday at 5:00 p.m., in front of Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix.

Echoes of the Vigils: A man with a distinct English accent, about to enter the diocesan house at 10 rue du Cloitre-Notre-Dame, tells us: "The traditional Latin Mass is magnificent. In our country, it is celebrated freely: Don’t stop!"



MONS.SCHNEIDER :

UN GIORNO, UN PAPA CELEBRERA DI NUOVO LA MESSA TRADIZIONALE

NELLA BASILICA DI SAN PIETRO A ROMA.

184ª SETTIMANA: LE SENTINELLE CONTINUANO LA LORO PREGHIERA

PER LA DIFESA DELLA MESSA TRADIZIONALE

DAVANTI ALL'ARCIDIOCESI DI PARIGI




Ho preso molto sul serio e non come uno scherzo le parole di monsignor Athanasius Schneider, in un'intervista rilasciata a LifeSiteNews (https://www.lifesitenews.com/news/exclusive-bishop-schneider-believes-a-pope-will-one-day-celebrate-latin-mass-in-st-peters-again/), in cui si diceva personalmente convinto che il giorno verrà in cui un Papa celebrerà la messa tradizionale a Roma, nella Basilica di San Pietro, con la massima solennità.

Perché bisogna essere logici: se, come dice Monsignor Schneider, la Messa tridentina, nonostante tutti gli ostacoli, riesce a sopravvivere e a continuare a svilupparsi – e di questo siamo tutti convinti, io che vi scrivo e voi che mi leggete –, essa finirà per diventare ufficialmente ciò che non ha mai cessato di essere: la Messa cattolica della Chiesa cattolica. "Questa celebrazione della Messa, che io chiamo la Messa dei secoli, è indistruttibile e un Papa non può distruggerla, per quanto ci provi", ha affermato il vescovo Schneider. Anche se la Messa potrebbe essere ulteriormente perseguitata e "relegata nelle catacombe", rinascerà splendidamente, assicura.

Infatti, Monsignor Schneider va oltre e aggiunge un’altra idea, se così posso dire: non vuole definire la Messa tridentina come antica, ma preferisce designarla come la Messa nuova. Ah, se Bugnini lo stesse a sentire! Infatti, afferma il vescovo Athanasius Schneider, essa attrae ancora oggi una gioventù fervente. È vero che si tratta di una messa sempre giovane.

Non è solo una questione di logica, è una questione di fede. Se è vero che questa Messa è stata accantonata per essere sostituita da una Messa che esprime più debolmente il sacrificio incruento di Gesù Cristo, ripetendo quello del Golgota, l'adorazione della presenza reale del Corpo e del Sangue di Cristo sotto le specie del pane e del vino, l'ineffabile trascendenza di questo mistero donato agli uomini, la sacralità del sacerdozio gerarchico, la Messa accantonata non potrà che trionfare alla fine su quella che ha voluto sostituirla. Essere convinti di questo significa credere nell'indefettibilità della Chiesa, che non può errare né ingannarci.

La crisi della Chiesa, iniziata mezzo secolo fa e che ora raggiunge il suo apice, crisi dell’insegnamento della fede da parte di coloro che ne hanno la missione, si manifesta apertamente – lex orandi, lex credendi – attraverso le “manipolazioni” della sacra liturgia. Ma Cristo disse a Pietro: «Simone, quando ritornerai, conferma i tuoi fratelli». » (Luca 22:32). Se una falsa riforma ha turbato la Chiesa e la sua liturgia, arriverà una vera riforma, cioè una rigenerazione della Chiesa e della sua liturgia.

Ed essa sarà attuata dal Successore di Pietro e dai Successori degli Apostoli. Quando il disordine nell'insegnamento verrà risolto, gli elementi di questo rinnovamento, sia immediati (dottrinali) sia eventualmente progressivi (disciplinari e, in certa misura, liturgici), saranno assunti dal Papa e dai vescovi uniti a lui.

È assolutamente necessario tenere fisso lo sguardo sullo scopo da raggiungere, vale a dire il ripristino dell’insegnamenti della Chiesa romana e del suo culto nella loro interezza. Ma prima di tutto, i vescovi, i cardinali e anche i prelati, come i superiori religiosi e gli abati dei monasteri, possono e devono anticipare questo rinnovamento nella loro sfera di influenza. Attualmente, la restaurazione della Chiesa si sta realizzando attraverso l'organizzazione di una sopravvivenza e degli inizi di un rinnovamento catechetico, missionario e liturgico. Ma forse siamo alla vigilia di una nuova fase dopo il Concilio, in cui ancora una volta nella storia terrena della Chiesa la potenza di Dio risplenderà nella debolezza degli uomini (2 Cor 12,10).

La costituzione divina della Chiesa è fondata sul Papa e sui vescovi a lui uniti. Nel contesto di questa sopravvivenza, è immenso ciò che può fare un vescovo, Successore degli Apostoli. Ringraziamo dunque Monsignor Lefebvre per i suoi seminari. Nella mia lettera del 10 febbraio 2025 ho parlato di questi “tre moschettieri” dei nostri giorni, i cardinali Burke, Sarah e Müller. Ho parlato anche del vescovo Strickland, vescovo “emerito” (forzato) di Tyler, Texas. È vero che un certo numero di vescovi, in diversa misura, oggi come ieri, non condivide la linea comune, anche se la manifestazione del loro dissenso resta timida. Quanto sono preziose, allora, le parole e le azioni di quei cardinali e vescovi che mostrano la vera libertà dei Successori degli Apostoli! E tra questi, contiamo anche il vescovo Athanasius Schneider.

Colgo l'occasione per annunciare che Mons. Schneider sarà a Parigi a fine maggio per partecipare a un convegno sulla dottrina della Corredenzione della Beata Vergine (La Co-rédemption de la Sainte Vierge · 23-24 mai 2025 · Colloque théologique), il 23 e 24 maggio, presso la Cité Universitaire, 17 boulevard Jourdan (RER Cité Universitaire), International House, Salon Honorat (con Padre Gabriel Grodziski, Padre Claude Barthe, Padre Jean-Christophe de Nadaï OP, Padre Patrick Troadec fsppx, Padre Serafino Lanzetta, francescano mariano, Padre Manfred Hauke, professore alla Facoltà di Teologia di Lugano, Professor Roberto de Mattei), dove potrete salutarlo.

Domani il Papa celebrerà la Messa tridentina in San Pietro! E prima ancora, perché non una messa tridentina a Notre Dame de Paris? Nell'immediato futuro, continueremo a vegliare e pregare davanti alla sede dell’arcidiocesi, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, dal lunedì al venerdì, dalle 13:00 alle 19:00. dalle 13:30 alle 13:30, a Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, e il mercoledì alle 17:00. di fronte a Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix.

Echi delle Vigilie: Un uomo con un forte accento inglese, stando per entrare nella casa diocesana al 10 di rue du Cloitre-Notre-Dame, ci dice: “La messa tradizionale latina è magnifica. Nel nostro paese si celebra liberamente: "Coraggio! Continuate!"


MONSEÑOR SCHNEIDER:

«UN DÍA, LA MISA TRADICIONAL CELEBRADA POR UN PAPA

EN SAN PEDRO, EN ROMA»

SEMANA 184: LOS CENTINELAS CONTINÚAN SUS ORACIONES

EN DEFENSA DE LA MISA TRADICIONAL

DELANTE DE LA ARCHIDIÓCESIS DE PARÍS




Tomé muy en serio y no como una broma las palabras de Monseñor Athanasius Schneider, en una entrevista que concedió a LifeSiteNews (https://www.lifesitenews.com/news/exclusive-bishop-schneider-believes-a-pope-will-one-day-celebrate-latin-mass-in-st-peters-again/?utm_source=featured-news&utm_campaign=usa), en la que dijo estar personalmente convencido de que un día un papa celebrará la misa tradicional en Roma, en la Basílica de San Pedro, con la mayor solemnidad.

Porque hay que ser lógico: si, como dice Monseñor Schneider, la Misa Tridentina, a pesar de los obstáculos, consigue sobrevivir y seguir desarrollándose –y de ello estamos todos convencidos, yo que os escribo y ustedes que me leen–, es para llegar a ser oficialmente al final lo que nunca ha dejado de ser, la Misa Católica de la Iglesia Católica. «Esta celebración de la Misa, que llamo la Misa de los siglos, es indestructible y un papa no puede destruirla, por mucho que lo intente», afirmó el obispo Schneider. Aunque la Misa pueda ser aún más perseguida y «relegada a las catacumbas», renacerá espléndidamente, asegura.

Monseñor Schneider añade a esto que prefiere no llamarla la misa antigua, sino la misa nueva. ¡Ah, si Bugnini pudiera oír eso! De hecho, afirma Mons. Athanasius Schneider, sigue atrayendo a una juventud ferviente. Es cierto que es una misa siempre joven.

Es más que una cuestión de lógica, es una cuestión de fe. Si es cierto que esta Misa fue dejada de lado para ser sustituida por una Misa que expresa más débilmente el sacrificio incruento de Jesucristo que reitera el del Gólgota, la adoración de la presencia real del Cuerpo y de la Sangre de Cristo bajo las especies del pan y del vino, la trascendencia inefable de este misterio dado a los hombres, la sacralidad del sacerdocio jerárquico, la Misa dejada de lado sólo puede al final triunfar sobre aquella que pretendía sustituirla. Estar convencido de esto es creer en la indefectibilidad de la Iglesia, que no puede equivocarse ni engañarnos.

La crisis de la Iglesia, iniciada hace medio siglo y que ahora llega a su apogeo, crisis de la enseñanza de la fe por parte de quienes tienen esa misión, se manifiesta abiertamente –lex orandi, lex credendi– mediante las «manipulaciones» de la sagrada liturgia. Pero Cristo le dijo a Pedro: «Y tú, Simón, una vez convertido, confirma a tus hermanos». » (Lc 22,32). Si una falsa reforma ha perturbado la Iglesia y su liturgia, vendrá una verdadera reforma, es decir, una regeneración de la Iglesia y de su liturgia.

Y ella será implementada por el sucesor de Pedro y los sucesores de los Apóstoles. Cuando se resuelva el desorden en la enseñanza, los elementos de esta renovación, ya sean inmediatos (doctrinales) o eventualmente progresivos (disciplinares y, en cierta medida, litúrgicos), serán asumidos por el papa y los obispos unidos a él.

Es absolutamente necesario mantener la mirada fija en el objetivo que debe alcanzarse, es decir, la restitución de la enseñanza de la Iglesia romana y de su culto en su integridad. Pero antes, los obispos, los cardenales y también los prelados, así como los superiores religiosos y los abades de los monasterios, pueden y deben anticipar esta renovación en su zona de influencia. En el momento actual, la restauración de la Iglesia se está llevando a cabo en forma de organización de una supervivencia y de un inicio de una renovación catequética, misionera y litúrgica. Pero quizá estemos en vísperas de entrar en una nueva fase después del Concilio, donde una vez más en la historia terrena de la Iglesia, la fuerza de Dios resplandecerá en la debilidad de los hombres (2 Co 12,10).

La constitución divina de la Iglesia está fundada en el papa y en los obispos unidos a él. En el contexto de esta supervivencia, lo que un obispo, sucesor de los Apóstoles, puede hacer es inmenso. Por tanto, agradecemos a Monseñor Lefebvre por sus seminarios. En mi carta del 10 de febrero de 2025 hablé de estos «tres mosqueteros» que hoy son los cardenales Burke, Sarah y Müller. También hablé del obispo Strickland, el obispo «emérito» de Tylor, Texas. Es cierto que un cierto número de obispos, en grado diverso, hoy como ayer, no están en la línea común, aunque la manifestación de su no conformidad siga siendo tímida. ¡Cuán preciosas son, pues, las palabras y las acciones de aquellos cardenales y obispos que demuestran la verdadera libertad de los sucesores de los Apóstoles! Entre ellos, el obispo Athanasius Schneider.

Aprovecho esta Carta para anunciarles que Mons. Schneider estará en París a finales de mayo para participar en un congreso sobre la doctrina de la Corredención de la Santísima Virgen (La Co-rédemption de la Sainte Vierge · 23-24 mai 2025 · Colloque théologique), los días 23 y 24 de mayo, en la Cité Universitaire, 17 boulevard Jourdan (RER Cité Universitaire), Casa Internacional, Salón Honorat (con el Padre Gabriel Grodziski, el Padre Claude Barthe, el Padre Jean-Christophe de Nadaï OP, el Padre Patrick Troadec fsppx, el Padre Serafino Lanzetta, franciscano mariano, el Padre Manfred Hauke, profesor de la Facultad de Teología de Lugano, el Profesor Roberto de Mattei), y que podrán saludarlo.

¡Misa tridentina celebrada mañana por el Papa en San Pedro! Y antes, ¿por qué no una misa tridentina en Notre-Dame de París? En el futuro inmediato, continuaremos velando y rezando frente a la sede del arzobispado, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, de lunes a viernes, de 13 horas a 13:30 horas, en Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, el miércoles a las 17:00 horas, y frente a Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix, los domingos a las 18:15.

Ecos de las Vigilias: Un hombre con marcado acento inglés, al entrar en la casa diocesana del número 10 de la rue du Cloître-Notre-Dame, nos dice: «La misa tradicional en latín es magnífica. En nuestro país se celebra libremente: ¡Continúen!»


BISCHOF SCHNEIDER :

EINES TAGES WIRD IM PETERSOM IN ROM DIE TRADITIONELLEN MESSE

VOM PAPST ZELEBRIERT.

184. WOCHE: DIE WÄCHTER SETZEN IHRE GEBETE

FÜR DIE VERTEIDIGUNG DER TRADITIONELLEN MESSE

VOR DER ERZDIÖZESE VON PARIS FORT




Ich habe die Worte von Msgr. Athanasius Schneider in einem Interview mit LifeSiteNews (https://www.lifesitenews.com/news/exclusive-bishop-schneider-believes-a-pope-will-one-day-celebrate-latin-mass-in-st-peters-again/) sehr ernst und nicht als Scherz aufgefasst. Darin sagte er, er sei persönlich davon überzeugt, dass eines Tages ein Papst die traditionelle Messe in Rom, im Petersdom, mit größter Feierlichkeit zelebrieren werde.

Denn wir müssen logisch sein: Wenn es der Tridentinischen Messe trotz aller Hindernisse gelingt, zu überleben und sich weiterzuentwickeln, wie Msgr. Schneider sagt – und davon sind wir alle überzeugt, ich, der Ihnen schreibt, und Sie, die mich lesen –, dann wird sie endlich offiziell zu dem, was sie nie aufgehört hat zu sein: die katholische Messe der katholischen Kirche. „Diese Messfeier, die ich die Messe der Jahrhunderte nenne, ist unzerstörbar, und ein Papst kann sie nicht zerstören, egal wie sehr er es versucht“, erklärte Bischof Schneider. Auch wenn die Messe weiterhin verfolgt und „in die Katakomben verbannt“ werde, werde sie eine großartige Wiedergeburt erleben, versichert er.

Monsignore Schneider ergänzt, wenn ich das so sagen darf: Er möchte die Tridentinische Messe nicht als alt bezeichnen, sondern sie lieber als neue Messe bezeichnen. Ach, wenn Bugnini das hören könnte! Tatsächlich, sagt Bischof Athanasius Schneider, zieht es immer noch eine eifrige Jugend an. Es ist wahr, dass es sich um eine immer junge Masse handelt.

Es ist mehr als eine Frage der Logik, es ist eine Frage des Glaubens. Wenn es stimmt, dass diese Messe abgeschafft und durch eine Messe ersetzt werden sollte, die das unblutige Opfer Jesu Christi in schwächerer Form zum Ausdruck bringt, indem sie das Opfer von Golgatha wiederholt, die Anbetung der wirklichen Gegenwart des Leibes und Blutes Christi unter den Gestalten von Brot und Wein, die unaussprechliche Transzendenz dieses den Menschen gegebenen Mysteriums und die Heiligkeit des hierarchischen Priestertums zum Ausdruck bringt, dann kann die abgeschaffte Messe letztlich nur über die Messe triumphieren, die sie ersetzen wollte. Davon überzeugt zu sein bedeutet, an die Unfehlbarkeit der Kirche zu glauben, die uns weder irren noch täuschen kann.

Die Krise der Kirche, die vor einem halben Jahrhundert begann und nun ihren Höhepunkt erreicht, eine Krise der Glaubensvermittlung durch diejenigen, die diese Mission haben, manifestiert sich offen – lex orandi, lex credendi – durch die „Manipulationen“ der heiligen Liturgie. Aber Christus sagte zu Petrus: „Simon, wenn du zurückkommst, stärke deine Brüder.“ » (Lukas 22:32). Wenn eine falsche Reform die Kirche und ihre Liturgie gestört hat, wird es eine wahre Reform geben, das heißt eine Erneuerung der Kirche und ihrer Liturgie.

Und es wird vom Nachfolger Petri und den Nachfolgern der Apostel umgesetzt. Wenn die Unordnung in der Lehre behoben ist, werden die Elemente dieser Erneuerung, ob sie unmittelbarer (doktrineller) Art oder, bis zu einem gewissen Grad, progressiver (disziplinärer und, bis zu einem gewissen Grad, liturgischer) Art sind, vom Papst und den mit ihm vereinten Bischöfen übernommen.

Es ist unbedingt notwendig, dass wir unser Ziel nicht aus den Augen verlieren, nämlich die Wiederherstellung der Lehren der römischen Kirche und ihres Gottesdienstes in ihrer Gesamtheit. Doch zunächst können und sollten Bischöfe, Kardinäle, aber auch Prälaten wie Ordensoberhäupter und Äbte von Klöstern diese Erneuerung in ihrem Einflussbereich vorwegnehmen. Gegenwärtig vollzieht sich die Wiederherstellung der Kirche in Form der Organisation eines Überlebens und des Beginns einer katechetischen, missionarischen und liturgischen Erneuerung. Aber vielleicht stehen wir am Vorabend des Eintritts in eine neue Phase nach dem Konzil, in der in der irdischen Geschichte der Kirche erneut die Kraft Gottes in der Schwachheit der Menschen aufleuchten wird (2 Kor 12,10).

Die göttliche Verfassung der Kirche gründet auf dem Papst und den mit ihm verbundenen Bischöfen. Im Kontext dieses Überlebens kann ein Bischof, ein Nachfolger der Apostel, enorm viel leisten. Wir danken daher Monsignore Lefebvre für seine Seminare. In meinem Brief vom 10. Februar 2025 sprach ich von diesen „drei Musketieren“, die heute die Kardinäle Burke, Sarah und Müller sind. Ich habe auch über Bischof Strickland gesprochen, den (gezwungenermaßen) emeritierten Bischof von Tyler, Texas. Es stimmt, dass eine gewisse Anzahl von Bischöfen – in unterschiedlichem Ausmaß – heute wie gestern nicht mit der gemeinsamen Linie einverstanden ist, auch wenn sie ihre abweichende Meinung weiterhin zaghaft äußern. Wie wertvoll sind daher die Worte und Taten jener Kardinäle und Bischöfe, die die wahre Freiheit der Nachfolger der Apostel demonstrieren! Unter ihnen Bischof Athanasius Schneider.

Ich nutze diese Gelegenheit, um anzukündigen, dass er Ende Mai in Paris sein wird, um an einer Konferenz über die Lehre von der Miterlösung der Heiligen Jungfrau (La Co-rédemption de la Sainte Vierge · 23-24 mai 2025 · Colloque théologique) teilzunehmen, die am 23. und 24. Mai in der Cité Universitaire, 17 Boulevard Jourdan (RER Cité Universitaire), International House, Salon Honorat (mit Pater Gabriel Grodziski, Pater Claude Barthe, Pater Jean-Christophe de Nadaï OP, Pater Patrick Troadec fsppx, Pater Serafino Lanzetta, ein Marianischer Franziskaner, Pater Manfred Hauke, Professor an der Theologischen Fakultät in Lugano, Professor Roberto de Mattei), und Sie können ihn begrüßen.

Tridentinische Messe, morgen vom Papst im Petersdom gefeiert! Und warum nicht vorher eine Tridentinische Messe in Notre Dame de Paris? In naher Zukunft werden wir weiterhin Mahnwache und Gebet abhalten: von Montag bis Freitag ab 13 Uhr vor dem Erzbistum, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, bis 13:30 Uhr in Saint-Georges de La Villette, 114 Avenue Simon Bolivar, und am Mittwoch um 17:00 Uhr. vor Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix.

Echos der Mahnwachen: Ein Mann mit starkem englischen Akzent erzählt uns beim Betreten des Diözesanhauses in der Rue du Cloitre-Notre-Dame 10: „Die traditionelle lateinische Messe ist großartig. In unserem Land wird sie frei gefeiert: „ Mut! Hören nicht auf! Weitermachen!!


BISPO SCHNEIDER :

UM DIA , A MISSA TRADICIONAL SERA DE NOVO CELEBRADA PELO PAPA

EM SAO PEDRO EM ROMA.

184ª SEMANA: OS SENTINELAS CONTINUAM AS SUAS ORAÇÕES

PELA DEFESA DA MISSA TRADICIONAL

DIANTE DA ARQUIDIOCESE DE PARIS




Devo dizer que levei muito a sério, e não na conta de mera boutade, estas palavras de Monsenhor Athanasius Schneider, numa entrevista que deu ao LifeSiteNews (https://www.lifesitenews.com/news/exclusive-bishop-schneider-believes-a-pope-will-one-day-celebrate-latin-mass-in-st-peters-again/). Aí, disse, com efeito, estar pessoalmente convencido de que, um dia, um Papa irá celebrar de novo a missa tradicional em Roma, na Basílica de São Pedro, com a maior das solenidades.

Porque temos de ser lógicos: se, como diz Mons. Schneider, a Missa Tridentina, apesar de todos os obstáculos, consegue sobreviver e continuar a difundir-se — e disto estamos todos convencidos, eu que vos escrevo e vós que me ledes — ela acabará por se tornar enfim e oficialmente aquilo que nunca deixou de ser: a Missa Católica da Igreja Católica. "Esta celebração da Missa, a que chamo a Missa dos séculos, é indestrutível, e um Papa não a pode destruir, por mais que tente", afirmou Mons. Schneider. Embora a Missa possa vir a ser ainda mais perseguida e "relegada para as catacumbas", renascerá esplendidamente, garantiu.

Monsenhor Schneider, de facto, vai ainda mais longe, acrescenta a isto a seguinte ideia, se me é permitido dizê-lo: não pretende descrever a Missa Tridentina como antiga, mas prefere designá-la como a nova Missa. Ah, se Bugnini o pudesse ouvir! Na verdade, diz o Bispo Athanasius Schneider, ela continua a atrair uma juventude fervorosa… não restam dúvidas de que esta é uma massa sempre jovem.

Mas é mais do que uma questão de lógica, é uma questão de fé. Se é certo que esta Missa foi posta de lado para ser substituída por uma Missa que exprime mais debilmente o sacrifício incruento de Jesus Cristo, reiterando o do Gólgota, a adoração da presença real do Corpo e Sangue de Cristo sob as espécies do pão e do vinho, a transcendência inefável deste mistério dado aos homens, a sacralidade do sacerdócio hierárquico, no final, a Missa que foi posta de lado não pode senão triunfar sobre aquela que procurou substituí-la. Estar convencido disto é acreditar na indefectibilidade da Igreja, que não erra nem pode enganar-nos.

A crise da Igreja, que começou há meio século e está agora a atingir o seu auge, uma crise do ensino da fé por parte de quem tem essa missão, manifesta-se abertamente — lex orandi, lex credendi — através das “manipulações” e “bricolage” sobre a sagrada liturgia. Mas Cristo disse a Pedro: "Simão, quando voltares, confirma os teus irmãos". » (Lucas 22:32). Se uma falsa reforma perturbou a Igreja e a sua liturgia, uma verdadeira reforma há-de vir por fim, isto é, uma regeneração da Igreja e da sua liturgia.

E será implementada pelo Sucessor de Pedro e pelos Sucessores dos Apóstolos. Quando a desordem no ensino na Igreja estiver resolvida, os elementos dessa renovação, sejam eles imediatos (doutrinários) ou eventualmente progressivos (disciplinares e, até certo ponto, litúrgicos), serão assumidos pelo Papa e pelos bispos a ele unidos.

É absolutamente necessário manter os olhos fixos no objectivo a atingir, a saber, a restauração dos ensinamentos da Igreja Romana e do seu culto na sua totalidade. Mas primeiro, os bispos, cardeais e também outros prelados, como superiores religiosos e abades de mosteiros, podem e devem antecipar esta renovação na sua esfera de influência. Actualmente, a restauração da Igreja está a ocorrer sob a forma da organização de uma sobrevivência e dos início de uma renovação catequética, missionária e litúrgica. Mas talvez estejamos nas vésperas de entrar numa nova fase depois do Concílio, quando, uma vez mais na história terrena da Igreja, o poder de Deus resplandecerá por entre a fraqueza dos homens (2 Cor 12,10).

A constituição divina da Igreja está fundada no Papa e nos bispos a ele unidos. No contexto desta sobrevivência, é imenso o que pode fazer um bispo, Sucessor dos Apóstolos. Agradecemos, por isso, a Monsenhor Lefebvre pelos seus seminários. Na minha carta de 10 de fevereiro de 2025, falava ainda dos “três mosqueteiros” dos nossos dias, os cardeais Burke, Sarah e Müller. E falava também do Bispo Strickland, o Bispo (forçado a ser) “emérito” de Tyler, Texas. É certo que um certo número de bispos, em graus diferentes, hoje como ontem, não está de acordo com a linha comum, embora a manifestação desse desacordo permaneça tímida. Quão preciosas são, pois, as palavras e as acções daqueles cardeais e bispos que usam e demonstram a verdadeira liberdade dos Sucessores dos Apóstolos! Entre eles, contamos o bispo Athanasius Schneider.

Aproveito a oportunidade para anunciar que estará em Paris no final de maio para participar numa conferência sobre a doutrina da Co-redenção da Santíssima Virgem (La Co-rédemption de la Sainte Vierge · 23-24 mai 2025 · Colloque théologique), nos dias 23 e 24 de maio, na Cité Universitaire, 17 boulevard Jourdan (RER Cité Universitaire), International House, Salon Honorat (com o O Padre Gabriel Grodziski, o Padre Claude Barthe, Padre Jean-Christophe de Nadaï OP, Padre Patrick Troadec fsppx, Padre Serafino Lanzetta, franciscano mariano, Padre Manfred Hauke, professor da Faculdade de Teologia de Lugano, Professor Roberto de Mattei), onde o poderão saudar.

A Missa Tridentina celebrada amanhã pelo Papa em São Pedro! E antes disso, porque não uma Missa Tridentina em Notre Dame de Paris? No futuro imediato, continuaremos de vigília e em oração em frente dos escritórios da arquidiocese, 10 rue du Cloître-Notre-Dame, de segunda a sexta-feira, das 13h00 às 17h00. às 13h30, em Saint-Georges de La Villette, 114 avenue Simon Bolivar, e na quarta-feira às 17h00, diante de Notre-Dame du Travail, 59 rue Vercingétorix.

Ecos das Vigílias: Um homem com um forte sotaque inglês, ao entrar na casa diocesana da 10 rue du Cloitre-Notre-Dame, diz-nos: “A missa tradicional em latim é magnífica. No nosso país, ela é celebrada livremente: "Coragem! Não parem!"

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